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I’m feeling Goo-D

Une souris, un écran et un peu de poésie dans ce monde de lol. C’est une des définitions pour World of Goo, réalisé par 2D Boy.

Less Goo sont des êtres mi-Kawaii mi-Lemmings et re mi-Kawaii derrière. Évoluant dans un univers évoquant Worms (en moins déjanté), il faut les aider à se taper un trip à la Speed Racer en les menant à un tube. L’histoire serait donc de sauver ces pauvres Goo en leurs faisant franchir un tas d’obstacles, de précipices ou de scies circulaires pour finalement se faire aspirer et stocker… Sur le coup, je suis pas certain de leur avoir filé un coup d’main.

Pour se mettre dans l’ambiance des premiers niveaux, la bande son se veut très douce (comme ce qui suit), mais elle peut être très stressante lorsque les Goo ne sont pas dans leur milieu naturel. Dans tout les cas elle accompagne parfaitement l’univers du niveau.

Home Sweet Home from Beyond: Good&Evil OST

Pour franchir les moults dangers qui les séparent de leur aspirateur, il suffit d’utiliser les propriétés physiques des Goo, puisque ils portent bien leur nom (Goo signifiant glue), en les assemblant pour créer des structures. Et là je ris. Que dis-je, je jubile ! Je ricane au nez et à la barbe de mon prof de Construction Métallique qui me raillait quand j’essayais d’attacher un ballon à un treillis de pont, espérant le voir suspendu dans les airs durant quelques secondes, avant de s’écraser sur les pieds du prof susnommé. Je peux enfin réaliser mon rêve !

Et c’est là qu’intervient l’art du franchissement. Savoir prévoir et dosé. Car si on peut oublier les calculs de tension des barres (Théorie & RDM quand tu nous intoxiques…), il faut être conscient de la gravité présent dans le monde des Goonies, et ne pas s’étonner de voir sa structure se casser la gueule si il n’y a pas de contreforts ou une base de tour assez large. Évidemment toutes les variantes sont possibles tant que l’objectif est rempli à la fin du niveau.

Le Goo peut se trouver sous plusieurs formes. Du petit Goo sagement endormi à usage unique (le pauvre :’( ) au réutilisable à volonté, en passant par le Goo gonflé à l’hydrogène (soit tout ceux disponibles dans la démo), ils ont suivies une théorie de l’évolution incroyable, et il en reste plein d’espèces de Goo à découvrir au fur et à mesure des niveaux.

Pour passer le temps ou relever un challenge (dans un mode de jeu disponible pour « Hardcore Gamer calculateur qui aime se prendre la tête »), World of Goo m’a agréablement surpris, bien loin du stress de Oh No More Lemmings!, que j’ai tenté de reprendre il y a peu sur Playstation, mais sans être trop facile. Je vais patienter jusqu’à son arrivée sur Wii Ware, où il bénéficiera de niveaux bonus. En attendant les teasers donnent une bonne idée du jeu, si je n’ai pas réussi à le faire ^^.

Victory !

2 Responses to “I’m feeling Goo-D”

  1. Ai téléchargé la demo.
    Vais y jouer ce week end.
    Fin si je pense a l’installer.
    Te tient au courant, en tout cas vu comment t’en parles ça a l’air bien ^^

  2. Ah et au fait, Worms s’trop bien.