Deux heures trente et trois flash plus tard:

Photo réalisée à l’occasion du concours “Carte de vÅ“ux” de mon école. La consigne n’était pas de se baser sur la nouvelle année, mais de proposer une belle image pour représenter l’école. Avec le studio entier à notre disposition, j’en ai profité pour essayer des éclairages assez originaux, non-uniformes, et je suis plutôt fier d’avoir trimé pour en obtenir un bien différent des autres photographes.
C’était aussi l’occasion d’imprimer sa photo et de voir les différences et les retouches à apporter entre un rendu écran et un rendu papier.

Évidemment elle n’a pas été retenue, mais je m’en fiche… C’est moi qu’avais le plus bel éclairage !!!!

Second reportage réalisé pour l’école à l’occasion d’un concours “Le Fleuve et la Cité”, dont j’essaye de trouver la date d’échéance pour pouvoir y participer…
Le collectif réunit plusieurs villes bordant la Seine et lance ce concours car il souhaite réaliser un projet rapprochant la population du fleuve. A nous de montrer l’état actuel des bords de Seine, et la volonté apparente de l’améliorer.

Tout au long du fleuve les villes se sont développées au fil du temps, construisant, rénovant, détruisant pour reconstruire à nouveau. Au fur et à mesure des travaux, des couches de bâtiments s’empilent et témoignent de l’exploitation par l’homme de la richesse du fleuve, qui profite d’un moyen d’approvisionnement en matières premières pour son industrie. C’est d’ailleurs ce dernier secteur qui y est le plus abondant, et au milieu des cheminées du passé, le Renouveau du fleuve se construit : de grands espaces de travail et des berges qui se voudront plus accueillantes pour les badauds.
A travers cette série j’ai voulu montrer l’empilement, les strates que compose les différents visages du fleuve, passés, présents et futurs, en créant une impression d’environnement en deux dimensions.

Aux abords des rejets
Malgré les marques de l’industrie et des berges dégradées, les habitants utilisent pour leurs loisirs la proximité du
fleuve.

Outils de construction
Une des nombreuses usines de stockage de matériaux le long du fleuve.

Open Space
Au milieu des marques du passé, le nouveau visage des abords du fleuve se profile.

Chaîne de construction
De leur transport à leur finalité, les matières premières de l’industrie font tout le temps partie du paysage du fleuve et vont contribuer à la construction de son nouvel environnement.

L’album Flickr.

#15 – Côte à côte:

#16 – We Walk:

Le #17 – I Have a Dream est déjà sur ce blog.

#18 – Mise en scène Morbide:

#19 – Entre Ciel et Terre:

Ce titre est totalement stupide.

Mais je l’aime bien.

Ivry, Architecture et Urbanité. Présentez Ivry comme une ville atypique de banlieue.

Pour un premier reportage ça reste assez basique. Un peu lâchés à nous-même je me lance: j’ai voulu montrer les différents aspects d’une ville de banlieue parisienne de mon point de vue, c’est-à-dire celui d’un habitant récemment arrivé dans cette même ville, venu d’un village de province où le rythme de vie est donc totalement différent.
L’architecture d’Ivry ne se distingue pas particulièrement, la ville pourrait parfaitement se situer autre part en France. J’ai donc montré les points communs des grandes villes : les immeubles, les lieux de rencontres, la place faite aux espaces verts avec les parcs et la conciliation de l’environnement urbain au sein même de ces parcs, mais aussi l’industrie tout autour.
Là où Ivry se distingue à mes yeux, c’est avec la marque posée par Paris : ses transports en communs comme le métro et le RER, propre aux grandes villes et à leurs banlieues.

Sculpture métallique

Marché pluvieux

Mur des grapheurs

Fleurs des villes

RER filant vers Paris
J’aime particulièrement ce paysage. Il n’est pas beau, mais il me fascine à chaque fois que je passe devant.

Messe express

C’était le 100ème article !!!

Donc celui-ci est le 101ème…

Ahem.

Ouh un Donuts !

Et une photo expérimentale à l’arrière d’un pick-up…

Souvenirs. Que de bons. Souvenirs.